Montrer patte blanche auprès des dealers pour pouvoir effectuer son travail : voici la nouvelle réalité des agents municipaux qui travaillent dans ce haut lieu du trafic de drogue dans la capitale bretonne. « Ils pensent qu’on renseigne les flics », poursuit Serge. (…)

Comme les jardiniers, les agents de propreté de la Ville subissent de plein fouet ce climat anxiogène. « Je reçois régulièrement des coups de pression et des insultes de la part des dealers », témoigne un agent de propreté qui intervient au Blosne. « C’est franchement angoissant. Je touche 1 500 € par mois pour ramasser des déchets, je veux juste gagner ma croûte tranquillement… sans terminer à l’hôpital ».

L’article complet du Télégramme ici

(Merci Fabrice Guérault)