Une mère dénonce la sortie à mi-peine de l’assassin de sa fille, tuée à Marseille en 1998. Un juge d’application des peines explique le système. (…)

Après avoir avoué le crime, mais invoquant a minima une dispute qui tourne mal, l’assassin était condamné à 25 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Bouches-du-Rhône, en janvier 2003. Redoutable manipulateur pour les uns, jeune homme paumé, empêtré dans ses mensonges, coupable d’un coup de folie passionnel pour les autres, Oswald Philippe vient de recouvrer la liberté, en conditionnelle, après 12 ans et demi seulement de détention.

Suite et source : La Provence
http://www.laprovence.com/article/a-la-une/les-peines-de-prison-sont-elles-executees