Un coup de téléphone inaudible, masqué par le bruit d’un avion qui décolle, des odeurs de kérosène… Ce quotidien « invivable », c’est celui des hommes de la police aux frontières (PAF) de Beauvais. Près de 80 policiers travaillent sur le site de l’aéroport. Dans des conditions très difficiles, faute d’infrastructures adaptées à la hausse des effectifs de ces dernières années……Lire l’article complet

Merci Yann Bourguignon