Les médias locaux n’en ont pratiquement pas parlé. Pourtant, les graves événements survenus dans le quartier ont provoqué une très vive tension. La cité populaire de Hautepierre, à l’ouest de Strasbourg (Bas-Rhin), a finalement évité l’embrasement fin juin, après l’agression d’un professeur d’arabe, figure de la communauté tchétchène. «Sans l’intervention de la police, on aurait pu avoir des dizaines de morts», assure Abdelhatif Hakmim, président de l’Association musulmane de Hautepierre, pour qui cette crise a été la pire de l’histoire du quartier. Pendant une semaine, forces de l’ordre et associations musulmanes ont travaillé main dans la main pour contrer l’escalade de violence entre jeunes du quartier et jeunes Tchétchènes……Cliquez ici pour lire la suite