Ils sont là pour aider des hommes, des femmes et des enfants à survivre. Mais à Calais (Pas-de-Calais), les bénévoles qui distribuent de l’eau, de la nourriture et des vêtements aux migrants se sentent entravés par la police. Face aux intimidations, aux interruptions de distribution et aux contraventions distribuées à tour de bras, les associations voient leur tâche devenir de plus en plus compliquée. "A Calais, la police s'en donne à cœur joie", dénonce Yann Manzi, le fondateur d'Utopia 56. Découragées, les associations se sentent abandonnées par le gouvernement et le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, qui les a d'ailleurs invitées à aller "déployer leurs savoir-faire ailleurs" lors de son déplacement à Calais le 22 juin. Franceinfo a recueilli leurs témoignages……Cliquez ici pour lire la suite

Merci "Eric S."