Si les forces de l’ordre réclament des moyens supplémentaires, des gaspillages perdurent dans la police nationale. L’absence pour raison syndicale nous coûte une fortune.
Dans la police nationale, c’est connu, le taux de syndicalisation est élevé : il atteint 70%, contre 5% en moyenne dans le privé. C’est bon pour le dialogue social, mais pas tellement pour la masse salariale. Les innombrables représentants syndicaux bénéficient en effet de “facilités de service” qui leur permettent de continuer à percevoir leurs traitements alors même qu’ils ne s’aventurent presque jamais sur le terrain.
Selon la Cour des comptes, la douloureuse pour le contribuable atteindrait près de 50 millions d’euros par an, “l’équivalent de 1.000 emplois à temps plein”……Cliquez ici pour lire la suite