Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner estime dans Le journal du dimanche que ses échanges avec le chef de l’Etat n’ont pas changé. Malgré notamment les ratés sécuritaires du samedi 16 mars à Paris où les Champs-Elysées avaient été mis à sac lors de la manifestation des «gilets jaunes». «Ce qui est vrai, c’est que le Président nous a mis une pression de dingue» pour samedi 23 mars, concède-t-il.