Dans une mission menée en février 2018, la Cnil avait constaté que « la caméra présente dans le bureau des six traducteurs les filmait à leur poste de travail sans interruption ».
Dans une mission menée en février 2018, la Cnil avait constaté que « la caméra présente dans le bureau des six traducteurs les filmait à leur poste de travail sans interruption ».