C’est le cauchemar qui agite les nuits de l’administration et de bien des surveillants. Et si l’un d’entre eux participait, un jour, à un attentat ? « C’est ce que nous redoutons le plus, qu’un surveillant radicalisé puisse aider un détenu à commettre une attaque de plus grande envergure », affirme ainsi dans Le Point de cette semaine (n° 2459) Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO-Pénitentiaire (majoritaire).
Cliquez ici pour lire la suite
(Merci Nadia)