La mémoire des crimes nazis est «inséparable» de l’identité allemande, selon la chancelière Angela Merkel qui visitait Auschwitz emplie d’une «profonde honte». Elle s’inquiète aussi de la montée du racisme en Europe.
La mémoire des crimes nazis est «inséparable» de l’identité allemande, selon la chancelière Angela Merkel qui visitait Auschwitz emplie d’une «profonde honte». Elle s’inquiète aussi de la montée du racisme en Europe.