« Monsieur le préfet me met en demeure de supprimer le mot « policières » de la fresque. Cette injonction était celle du syndicat de policiers Alliance. Je ne saisis pas le sens de cette mise en demeure infondée », a déclaré Azzédine Taïbi qui a mandaté son avocat Arié Alimi « afin d’étudier les suites à donner au préfet ».
Et vite c’est la honte.
Un mair(d)e islamiste soutient toujours les délinquants multirécidivistes et puni les policiers qui veulent empêcher leur délits, bravo au prefet de lui foutre à ce mair(d)e une paire de cymbale.
supprimer complètement cette horrible fresque représentants deux délinquants