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« Monsieur le préfet me met en demeure de supprimer le mot « policières » de la fresque. Cette injonction était celle du syndicat de policiers Alliance. Je ne saisis pas le sens de cette mise en demeure infondée », a déclaré Azzédine Taïbi qui a mandaté son avocat Arié Alimi « afin d’étudier les suites à donner au préfet ».

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