« On ne peut plus envoyer de jeunes policiers sortant de leur terroir Ă Paris ou en proche banlieue, dans des conditions de violence bien plus Ă©levĂ©es que ce quâils ont connu, sans davantage de formation », dĂ©clare le ministre de lâIntĂ©rieur. « Ils ne sont pas toujours prĂȘts au maintien de lâordre. Ils doivent parfois acheter eux-mĂȘmes en grande surface un casque de protection ou leur propre camĂ©ra piĂ©ton ! », ajoute le ministre.