Le dĂ©nigrement, l’humiliation, le harcèlement et la violence : la souffrance constituerait un passage obligĂ© lors des stages des Ă©tudiants en mĂ©decine Ă  l’hĂ´pital et, dans une moindre mesure, en cabinet libĂ©ral.

« On a réussi à faire pleurer tous les internes », s’est ainsi vanté un praticien, selon des propos rapportés par un étudiant que Sara Eudeline et Amélie Jouault ont cité dans leurs thèses sur les violences subies par les étudiantes et étudiants en médecine générale et les facteurs qui en sont à l’origine. Soutenus jeudi 22 octobre à la faculté de médecine de Sorbonne Université, leurs travaux ont reçu une mention très honorable avec félicitations du jury.

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