
Policiers, ils ont dénoncé violences, racisme ou harcèlement commis par leurs collègues. Une démarche « semée d’embûches » malgré les procédures de signalement existantes, ont raconté à l’AFP plusieurs d’entre eux, qui assurent, pour certains, avoir dû parler publiquement pour être davantage entendus.
Prendre la parole publiquement, Amar Benmohamed, « ne le souhaitait pas ». « Mon leitmotiv, ça a toujours été d’être un peu sous les radars ».