
Une très large majorité d’entre eux sont Algériens, les autres Marocains, Tunisiens ou d’origine inconnue.
C’est une difficultĂ© nouvelle pour la police parisienne : ces dernières annĂ©es le nombre de mineurs non-accompagnĂ©s mis en cause dans des affaires de dĂ©linquance violente a explosĂ© de 407%, passant de 290 Ă 1 471 entre 2016 et 2020. Mais la rĂ©ponse pĂ©nale est la plupart du temps compliquĂ©e Ă mettre en place, car ces migrants violents mentent souvent sur leur âge ou sur leur nationalitĂ©, pour empĂŞcher leur identification et ĂŞtre protĂ©gĂ©s par l’ordonnance du 2 fĂ©vrier 1945 relative Ă l’enfance dĂ©linquante, prĂ©cise le quotidien. Pour contrer ce phĂ©nomène, la prĂ©fecture de police a mis en place un système innovant, qui dĂ©voile des chiffres Ă©difiants…Â