Deux femmes qui envoyaient à leur sœur, en Syrie, de l’argent versé par les allocations familiales ont été interpellées par la DGSI et placées en garde à vue.

L’argent, nerf de la guerre… et du djihadisme. L’affaire survenue la semaine dernière est tout à la fois modeste et révélatrice. Car elle témoigne du travail discret et systématique des services de renseignement pour lutter contre le soutien financier «familial» à des djihadistes présents dans la zone syro-irakienne, où, après les revers enregistrés, les organisations terroristes se reconstituent dans la clandestinité.

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