Quatre Français, soupçonnés d’avoir revendu des téléphones cryptés à des trafiquants, ont été placés en détention provisoire vendredi soir.

Il porte encore son blouson jaune fluorescent de cantonnier. Il découvre Paris. Ou plutôt son tribunal judiciaire, où il vient d’être mis en examen des chefs d’association de malfaiteurs, blanchiment aggravé et infractions à la législation sur la fourniture de moyens de cryptologie. « Je suis dépassé par les événements », bégaye-t-il dans le box, vendredi, vers 22 heures. Dans quelques minutes, le jeune homme sera placé en détention provisoire.

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