Dix-huit mois de prison « sans aménagement » avec mandat de dépôt ont été requis jeudi 10 juin contre Damien Tarel. L’homme de 28 ans est jugé en comparution immédiate à Valence pour avoir giflé le président de la République en marge d’un déplacement dans la Drôme mardi. La peine requise s’accompagne d’une interdiction définitive d’exercer une fonction publique, d’une interdiction de droit de vote pendant cinq ans maximum, et d’une interdiction de détention d’arme pendant cinq ans.

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