Les investigations sur le forcené qui a attaqué les forces de l’ordre et séquestré une femme, le 28 mai près de Nantes, révèlent qu’il s’était mis à prier avant de mourir, tout en déclarant avoir commis «une bêtise». Sa grande religiosité et ses troubles psychiatriques divisent les magistrats sur l’opportunité de requalifier les faits en acte terroriste.