Xavier Bonhomme, le procureur de la République de Nice, tient pour sa part à relativiser les faits et appelle à la prudence. «Après audition des plaignants et témoins, aucun élément en faveur de l’apologie du terrorisme ou de menace n’a été recueilli», a-t-il indiqué au Figaro ce mercredi. «Les premiers éléments rapportés faisaient état en effet de menaces, ce qui explique l’interpellation et la garde à vue. Au final, le sacristain a pris peur suite à quelques paroles en arabe».

L’article du Figaro ici