
« L’usage de la ‘drogue du violeur’ constitue désormais une circonstance aggravante en matière de viol et d’agressions sexuelles », souligne le ministère dans un communiqué.
« L’usage de la ‘drogue du violeur’ constitue désormais une circonstance aggravante en matière de viol et d’agressions sexuelles », souligne le ministère dans un communiqué.