“Ce jour-là, quand il est sorti de sa cabine et m’a saisi par le bras, je me suis senti en danger et je l’ai frappé. C’est vrai. Ça résulte d’un accès de colère et j’en suis désolé”, a expliqué, ce vendredi à la barre du tribunal judiciaire, ce Parisien, âgé d’à peine 19 ans, poursuivi pour des violences volontaires à l’encontre d’un chauffeur de bus montpelliérain de la ligne 11.

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