Je n’ai jamais considéré que les policiers sont de violents agresseurs en puissance, qu’ils sont là pour nuire à ma liberté, qu’ils sont une menace pour la démocratie ! J’aime leur protection, oserais-je encore dire que j’aime l’ordre, et que lorsque je jouais aux gendarmes et aux voleurs, je choisissais d’être gendarme. Peut-être est-ce pour cela que j’appartiens à la réserve citoyenne de la gendarmerie ? On me l’a proposé, par le plus grand des hasards, parce que j’étais une communicante et que les gendarmes en tant que militaires n’ont pas le droit de s’exprimer, y compris lorsque la presse s’empare de sujets qui les concernent – ils appartiennent à ce qu’on appelle « la grande muette ».

Communiquer, je ne m’en suis jamais privée, parfois d’ailleurs à mon détriment.

L’article de Causeur ici