Plus de 600 personnes, dont des députés, ont réclamé dans une lettre ouverte à la Première ministre la mise en place d’un accès à internet dans les prisons françaises, pour faciliter la réinsertion des détenus et réduire la « fracture numérique ». Â«Â Si l’interdiction de l’accès à internet en prison n’est posée par aucune loi, elle y est pourtant totale », font valoir les signataires, qui réclament un débat public et législatif sur le sujet.

Parmi eux, des responsables d’associations et de structures d’insertion, des conseillers de probation, des avocats, des magistrats et plusieurs députés dont Ségolène Amiot (LFI), Ugo Bernalicis (LFI) et Arthur Delaporte (PS).

L’article de Jean-Marc Morandini ici