Ce n’est peut-être pas tout à fait ainsi que le gouvernement imaginait les progrès de l’open data des données publiques. Geispolsheim, Hendaye, Lyon, Mayotte, Le Mesnil-Amelot, Metz, Perpignan… Grâce au travail d’un collectif d’extrême gauche, abaslescra, les plans détaillés de nombreux centres de rétention administrative (CRA) français sont actuellement consultables sur Internet, en quelques clics.

L’article du Point ici