Ces militaires de l’Escadron de soutien technique aéronautique de la base aérienne 133 de Nancy-Ochey ont écopé de 4 à 14 mois de prison avec sursis.

Huit sur dix. C’est le nombre de militaires de l’Escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) condamnés dans l’affaire de harcèlement et de violences qui secoue depuis trois ans la base aérienne 133 de Nancy-Ochey en Meurthe-et-Moselle. Le scandale avait éclaté après la plainte, déposée le 20 novembre 2019 auprès de la cellule Thémis (chargée de la lutte contre le harcèlement, les discriminations et les violences sexistes et sexuelles au sein du ministère des armées), de ce sergent mécanicien dans l’armée de l’air, à bout du harcèlement, des humiliations et des violences dont il expliquait avoir été victime durant cinq ans de la part de ses supérieurs.

L’article du Parisien ici