
Selon un communiqué du tribunal, les autorités de police «n’ont pas commis d’erreur d’appréciation» en décidant l’abaissement de la vitesse maximale à 30 km/h compte tenu «de la marge d’appréciation dont disposent ces autorités et des bénéfices attendus de cette mesure», notamment sur la réduction des accidents graves et mortels pour les piétons.