Photo d’illustration

Une Varoise a appris avec un mois de décalage le décès de son père, pensionnaire d’un Ehpad de la Drôme. Elle ne savait même pas qu’il avait été placé.

Un mois après son dĂ©cès, la fille d’un pensionnaire d’une maison de retraite de la DrĂ´me a Ă©tĂ© informĂ©e de la mort de son père. Selon les informations rapportĂ©es par le Parisien, la famille de la victime dĂ©plore un manque de communication et de transparence de la part de l’Ă©tablissement.

Le dĂ©cès du pensionnaire s’est produit le 27 dĂ©cembre 2022, mais sa fille n’a Ă©tĂ© informĂ©e qu’un mois plus tard, le 27 janvier 2023. La famille s’interroge sur les raisons de ce dĂ©lai et dĂ©plore un manque de communication de la part de l’Ă©tablissement.

La direction de la maison de retraite a indiquĂ© avoir informĂ© les proches de la victime dès que possible, et qu’elle s’est engagĂ©e Ă  collaborer avec les autoritĂ©s pour Ă©lucider les circonstances de ce dĂ©cès. Elle a Ă©galement indiquĂ© qu’elle mettrait en place des mesures pour amĂ©liorer la communication avec les familles des pensionnaires.

Ce cas de manque de transparence et de communication met en lumière les difficultĂ©s auxquelles les Ă©tablissements de soins pour personnes âgĂ©es peuvent ĂŞtre confrontĂ©s. Il rappelle Ă©galement l’importance de maintenir des liens de confiance et de transparence entre les Ă©tablissements et les familles des personnes âgĂ©es.

Il est important de noter que cette situation est une exception et qu’elle ne reflète pas la situation gĂ©nĂ©rale des maisons de retraite. Il est cependant nĂ©cessaire de rester vigilant et de s’assurer que les personnes âgĂ©es sont traitĂ©es avec respect et dignitĂ©, et que les familles sont informĂ©es de tout Ă©vĂ©nement important concernant leur proche.