Parce qu’il Ă©tait policier, un homme a Ă©tĂ© rouĂ© de coups par une Ă©quipe de cinq jeunes dont un seul Ă©tait prĂ©sentĂ© libre devant le tribunal de BĂ©ziers. Un gendarme qui connaissait la victime est venu Ă  son aide, il a, lui aussi, Ă©tĂ© frappĂ©, dans l’indiffĂ©rence des vigiles de la boĂźte de nuit face Ă  laquelle les Ă©vĂ©nements se sont dĂ©roulĂ©s dans BĂ©ziers, dans la nuit de samedi Ă  dimanche 22 janvier.

Qui a dĂ©clenchĂ© la bagarre dans la nuit de samedi Ă  dimanche 22 janvier dernier ? Du cĂŽtĂ© des prĂ©venus, on assure que c’est la victime, seule avec sa femme, contre une bande de copains, un brin Ă©mĂ©chĂ©s. De l’autre cĂŽtĂ©, on assure que les hommes sont tombĂ©s sur la victime parce qu’il Ă©tait policier et qu’il avait Ă©tĂ© reconnu. Des deux cĂŽtĂ©s, en revanche, on explique que des tensions ont dĂ©butĂ© dans la boĂźte le O2 et que les videurs ont mis tout le monde dehors. Pour le savoir avec prĂ©cision, il faudra attendre le 22 fĂ©vrier prochain afin de comprendre. Peut-ĂȘtre !

L’article du Midi Libre ici

(Merci Yann Bourguignon)