Emmanuel Abayisenga, qui a avoué avoir tué le prêtre en Vendée, était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. Des personnalités de droite et d’extrême droite ont vivement contesté le fait qu’il n’avait pas été expulsé. Le ministre de la Justice leur répond ce mardi 10 août sur sa page Facebook.

L’article de Ouest France ici