Après les temps sauvages d’un grand Kessel, nous voilà trainés grâce à l’immense médiocrité de générations entières de politiciens égarés, dans la “gouvernance des sauvages”.

Il est pétrifiant d’assister, dans ce pays des esprits et des lettres, à des débats tout au long desquels les orateurs se posent la question de savoir qui, des voyous ou de l’État, détient aujourd’hui les clés du pouvoir ? Comment ne pas être désespéré au spectacle affligeant de ces cas de conscience que se posent nos décideurs à savoir comment endiguer l’ambition affichée et assumée de délinquants chevronnés qui ne craignent rien de la Justice ou plus généralement de l’autorité de l’État. 

L’article de Confiance en la justice ici