Sur un tract dépliant met en opposition « ce qui est légal » vis-à-vis des personnes migrantes passant la frontière et « ce qui est illégal ». Dans la première liste, sont énumérées les actions que les solidaires des exilés font ; dans la seconde, ce qui serait « attesté comme pratiqué au quotidien par de membres des forces de l’ordre » à la frontière. Sont listés (entre autres) les faits de « faire preuve de discrimination raciale », « [d’]utiliser la violence verbale ou physique lors d’interpellations », ou encore de « voler l’argent ou le téléphone d’un exilé ».

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