L’expertise psychologique de l’homme qui a projeté samedi soir son véhicule sur la Grande mosquée de Colmar n’a révélé ni «abolition», ni «altération» de son discernement, a indiqué mardi le parquet de Colmar dans un communiqué.
L’expertise psychologique de l’homme qui a projeté samedi soir son véhicule sur la Grande mosquée de Colmar n’a révélé ni «abolition», ni «altération» de son discernement, a indiqué mardi le parquet de Colmar dans un communiqué.